p.p. made in geek city test de fallout 3 ...

Et oui, je sais, il en aura fallut du temps, mais cette fois c'est terminer... avec la réapparition soudaine d'internet je peux m'investir a nouveau dans le fofo.(^^)

Voici donc mon premier test, (j'espère qu'il vous satisfera ^^7)en tout bien tout honneur j'ai donc terminer le jeu en long et en large, je peux donc vous transmettre mes impressions le concernant.

Voici donc le fameux "test"!!!Ho YeAh!



(je précise bien que c'est simplement mon avis (une façon de vous orientez ^^), même si je pense être asse objectif et avoir une bonne expérience du video game ... sinon je ne me permettrais pas de faire ces "test"

Intro.

Des cris… Des pleurs… La peur… La douleur… Un flash… Une lumière aveuglante envahit notre champ de vision déjà constellé de tâches sanglantes. Une bombe ? Le début de la guerre ? un muffin mutant ? Non. Des formes se dessinent progressivement, un visage souriant se penche sur nous. C’est celui de notre chère popa (^^), heureux de pouvoir enfin prendre son fils (ou sa fille au choix) dans ses bras, à la seconde même de sa naissance. Le plus heureux des événements ne tarde pas à être gâché par une tragédie qu’aucun homme ne devrait vivre (une femme peut être lol). L’arrivée d’une nouvelle vie doit-elle forcément être équilibrée par la disparition d’une autre ? Le sourire du popa s’efface au son strident d’une alerte toute proche. Des complications assaillent la mère encore affaiblie par l’effort de l’accouchement. Son cœur flanche. Et malgré les efforts déployés par le personnel médical, ce jour bénit ne sera plus jamais celui de la naissance d’un enfant, mais celui ou ... enfin vous avez compris, je brode trop la. (^^)

Les années passent et la vie suit son cours paisible dans l’abri 101. Le gamin (accent wallon requis! ^^) devient un jeune garçon. Son dixième anniversaire venu, il se voit offrir l’accessoire indispensable à tout habitant de l’abri : le Pip-boy 3000. Un bijou de technologie aux fonctions multiples telles que des cartes locales et régionales, des informations sur son porteur, les objets qu’il possède… Un outil dont personne ne se sépare et qui se greffe sur le bras de son possesseur pour l’accompagner dans la moindre de ses activités. Puis vient le temps de l’adolescence et le début de l’âge adulte (l'acné ... lol). Et avec lui le commencement de sérieux ennuis pour notre héros. Une alarme le tire de son sommeil, une amie accourt à son chevet, paniquée. D’après ses dires, notre popa à transgresser les règles de l’abri et s’est enfui on ne sait où dans le monde extérieur. Les autorités de l’abri sont en marche pour nous niké la face ... quelle violence!. La fuite est la seule solution. Une course effrénée démarre et nous emmène jusqu’au sas de plomb de l’abri, unique issue vers un monde ravagé et hostile que notre personnage n’a jamais vu. La porte s’ouvre, un couloir de pierre, une autre porte puis la lumière. Nouvel aveuglement résultant de notre première rencontre avec le soleil. Et les terres désolées qui s’étalent sous nos yeux maintenant habitués à tant de clarté…

Technique...graphisme...gameplay.

Le moteur graphique de Bethesda retranscrit à merveille l’atmosphère chaotique du jeu grâce à une modélisation des décors et des personnages très détaillée et une palette de couleurs composée principalement de nuances de gris et d’ocre. La désolation qui nous entoure déprimera le plus enthousiaste des hommes qui, de son promontoire, risque même de vouloir retourner au plus vite à la chaleur de son abri antiatomique. La profondeur de champ est vertigineuse. Le terrain de jeu qui s’ouvre à nous semble sans limites et c’est plein d’espoir et de bravoure que l’on se lance à la poursuite de not' popa et ses secrets. La première ville visitée, du nom de Megaton, est à elle seule un reflet de la folie qui règne désormais partout dans le monde. Les habitants vivent dans des cabanes de tôles fabriquées à partir des restes d’un avion de ligne écrasé des lustres auparavant. Une bombe nucléaire gigantesque trône au milieu de cet amas de tôle improbable. Tandis que certains, à force de trop s’exposer aux radiations, la vénèrent comme un dieu (leeees golmooooooooons!lol), d’autres s’inquiètent à l’idée de voir l’engin de mort s’enclencher (ho oui ho ouiii!!! patience mon jeune ami ^^).


Les premiers choix s’offrent à nous très rapidement et le plus représentatif d’entre eux est la possibilité de désamorcer la bombe ou de la faire sauter. Bien entendu, rendre la bombe inoffensive provoquera la colère des Fils de l’Atome (et la mienne, vas y fais peter quoi!^^), la secte idolâtrant l’ogive. Mais si l’on préfère assister au spectacle du champignon nucléaire (tellement grisant !), il ne faut pas oublier que la ville sera rayée de la carte. Au même titre que ses habitants et les missions qu’ils pourraient vous confier. Le roleplay est omniprésent et seul le joueur détermine la personnalité de son personnage. Voleur, assassin, margoulin ou bon samaritain, à vous de prendre la voie qui vous sied le mieux en prenant en compte les conséquences qu’aura, tôt ou tard, le moindre de vos actes. Un très bon point donc que cette liberté. Pourtant, Bethesda semble ne pas avoir appris de ses erreurs passées… (tAdAdA...musique qui fais peur ^^)

Big trouble...

Si le moteur graphique d’Oblivion, utilisé pour Fallout 3 et visiblement amélioré, le gameplay lui, souffre des mêmes défauts que le quatrième épisode de la série Elder Scrolls. Tout comme pour Oblivion, il semble bien que les monstres rencontrés disposent d’un niveau équivalent à celui du joueur. On rencontre ainsi les premiers super mutants dès le niveau 4 et ces derniers...roxe a mort...sa mère je les hais!!!lol.Mais grâce au V.A.T.S. – le système de combat au tour par tour – qui gèle le temps pour nous permettre de viser précisément les parties sensibles du corps d’un ennemi,il deviens directement plus simple de combattre mais a force d'utilisation, cela casse le rythme des combats ainsi que leurs atmosphère (en somme ça deviens chiant quoi!). Heureusement, même en temps réel, les statistiques du personnage sont prises en compte et les balles éviteront parfois la cible en fonction de sa précision. La localisation des dégâts est d’ailleurs très précise et c’est un réel plaisir (mouhaha!!!) que de voir éclater un ennemi dans des gerbes de sang, le tout au ralenti si l’on en vient à bout durant un mouvement programmé avec le V.A.T.S. La vue à la troisième personne ne sert finalement qu’à admirer son personnage en cas de changement d’équipement. L’utiliser pour les combats ou même l’ensemble du jeu est bien moins pratique et immersif que la vue FPS (fan d'halo lever le bras droit and give im a finger!!!lol).


Et ce n’est pas le seul point noir du jeu. La sensation de jouer à Oblivion au sein de l’univers de Fallout se fait toujours plus présente au fil des heures. On visite les villes pour trouver de quoi s’occuper et être dirigé vers divers points de la carte. Des lieux qu’il faudra visiter avant de pouvoir profiter du voyage instantané via la carte globale (pas tres originale il faut le dire...). Certains s’avèrent d’ailleurs difficiles d’accès tant la carte et l’indicateur d’objectif sont parfois imprécis. On tourne donc en rond en espérant trouver un passage quelque part jusqu’à ce que l’on comprenne qu’il faudra impérativement passer par le métro de Washington pour accéder à tous les quartiers de la ville. Et là encore, on se retrouve avec cette étrange impression de « déjà-joué ». Les couloirs de pierre et autres colonnes de marbre sont remplacés par de l’acier froid et de la tuyauterie omniprésente certes mais le tout offre des sensations de similaires au titre médiéval fantastique des développeurs. Rien de rageant, mais on aurait aimé que Fallout 3 nous propose un challenge plus corsé ainsi qu’un brin de nouveautés. Les fans d’Oblivion ne mettront pas longtemps à appliquer leur style au titre postapocalyptique de Bethesda. Même la gestion de l’inventaire et l’ergonomie discutable du Pip-boy rappellent l’autre série phare des développeurs.


Ce n’est pas forcément un handicap quand on connait le niveau de qualité d’Oblivion. D’autant que Fallout 3 se révèle bien moins buggé que son ancêtre. Le jeu est fluide, bien optimisé et seuls quelques extérieurs en fonction de l’heure qu’il est provoqueront quelques ralentissements mais rien d’alarmant. Prévoyez tout de même une config taillée pour les jeux pour en profiter au maximum. Seules les animations pourront nous arracher une moue dubitative tant elles s’avèrent raides. Même les goules se tiennent raides comme des piquets. Bethesda n’a donc pas su écouter les critiques pour corriger le tir et les plus ardents fans de Fallout monteront au créneau avec véhémence. Tandis que les autres, connaisseurs ou pas, sauront apprécier le travail accompli : une ambiance unique, un humour décapant...le game reste a mes yeux une véritable bombe...mais une bombe deja vue...(genre hiroshima lol).
Enfin pour en conclure, fallout est une véritable tuerie et je regrette de ne pas avoir connus les titres précédents de ce jeu, mais je m'avoue asse déçus par son cote linéaire...son manque de fraicheur.

Une note pour résumé.

14/20 pour le gameplay, bien que l'humour des habitants des terres désolées m'ai ravis au plus haut point, je déteste cette apparente raideur de ces hommes et femmes pris du syndrome du "manche a balais dans le ***", ainsi que les différents menus, qui manquent, a mes yeux de clarté.
16/20 pour le sound, c'est un véritable plaisir de ce balader dans les terres désolées accompagner de cette merveilleuse bande son rétro...même si celle-ci deviens malheureusement répétitive.
Sinon les différentes réactions du people et autres bruitages liés a la faune locale m'ont grandement fais plaisir. (du beau travail jenkins!!!)
15/20 pour le graphisme, bien que très jolis je n'ai put ressentir qu'une certaines lassitude a ces décors en ruines qui semblaient ce répéter l'un après l'autre, une impression de déjà vu...si je n'avais pas jouer a oblivion je n'aurais peut être pas ressentit cela.
Sinon outre quelques bugs le jeu s'en sort très bien!

Note finale (roulement de tambour ^^) 16/20 un hit incontournable surtout pour les personnes n'ayant jamais jouer a un the elder scroll, ceux-ci se sentirons sans doute totalement dépayser... (hummmm... même si dans le monde de fallout je dirais qu'il est préférable de rester chez soi ^^)
Pour les autres une très bonne expériences mais qui ne vous apportera rien de vraiment nouveau.

Bon test ! (et je vois que l'habitude de poster sur 20 000 messages ne t'as pas quitté lol).

Ce jeu m'intéresse bien et j'attends avec impatience qu'Andréas me le prête... un jour hé hé.

Ton test m'a donné envie de faire péter la bombe jouer à Fallout 3 !

Ce jeu m'a l'air très riche, surtout pour moi qui n'ai jamais touché à un Elder Scroll (à part l'éditeur de perso ... lol).

J'ai hâte de voir ton prochain test, qui sera je l'espère aussi complet ^^ (voire plus ? =O)

Ton texte est bien ficellé et bien écrit, vraiment agréable a lire...

Moi je voudrais juste insister sur un point du jeu qui m'as vraiment plu: la bande-son.

Une bande-son toute douce, qui respire la joie de vivre dans un tel décor, je trouve ca tout simplement génial; tout comme le studio 2K l'avais fait pour bioshock avec ses pubs et

petites musiques de fond enjouées.

Un régal pour les oreilles...

Spéciale dédicace à Free-dog qui a su maintenir mon moral au plus haut point grace à sa play-liste perso fabuleuse...On t'aime man!